En 1989, Elisabeth et Patrick Maury se reconvertissent à l’agriculture et achètent une vieille ferme inutilisée. Ils y élèvent un petit troupeau de chèvres de race alpine (80 chèvres laitières et 20 chevrettes).
Elles alternent en fonction des saisons les pâturages l’été et fourrage et céréales l’hiver.
Josy –
très bon, mais à manger rapidement.
MUller –
Très bon mais un peu trop fait (chaleur?)
Catherine –
Son aspect était écœurant et dégoulinant. Le gout trop fort. Dommage. Ce fromage ne nous a pas plu.
nora.bougharouat –
Un peu trop fort mais bon quand-meme.
Caulier –
Aspect peu engageant à l’arrivée, problème du au voyage
un peu déçu par le manque de goût
clairerivory –
Appréciant pourtant les fromages forts, pour le coup c’était limite “acide”… Quelle dommage… La coup de chaud du voyage a effectivement du le faire trop travailler…
KOSTMANN –
C’est le fromage qui a le plus souffert du voyage. Son état avancé a développé une dominante d’odeur et de goût de chèvre qui peuvent très vite être repoussants. Bien meilleur en tarte chaude qu’en fromage sur un plateau.